Épuisés de leurs encres bleues
Les océans s’en retournent aux cieux
Au cœur des ouragans des incendies
Se meuvent les géants sols enfouis
A l’heure de s’enfoncer
Dans la terre profonde et pleine
Les mers ont l’âme alambiquée
Et la poussière revêt leurs peines
Alors que les eaux disparaissent
Dans les fissures terrestres
Sur mon bateau j’espère encore
Te retrouver au prochain port.
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