Au premier temps de la valse
T’as regardé par la fenêtre
Peut-être à cause du temps qui passe
Peut-être à cause du temps qui reste
Ça rigole sur ton visage,
Et puis les larmes et les orages
Et les alarmes et puis la rage
Ça rigole sur ton visage
Et des flammes au bord des yeux
Les jeux de l’âme sont dangereux
Quand ça brûle au fond du corps
Les crépuscules, les météores
Les météorologistes disent
Que dans ton ombre se déguisent
Des cataclysmes et des nuages
Et des visages dans les nuages
Et quand à la chaleur du feu
Tu nous rends tous un peu pluvieux
A chanter le chant des adieux
Ça fait comme un trou au milieu
Ça rigole sur nos visages
Et puis les larmes et les orages
Et les alarmes et puis la rage
Ça rigole sur nos visages
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